lundi 30 janvier 2012

Sarkozy et les victimes : leçon de populisme pénal appliqué



Un article très affûté de mon amie Laure Heinich Luijer sur le "président des victimes"


Si Nicolas Sarkozy était vraiment le président des victimes, il penserait à elles, par exemple, en abaissant le seuil d'incapacité temporaire totale à partir duquel on peut saisir la commission d'indemnisation des victimes d'infractions ou élargir le champ des infractions ouvrant indemnisation devant cette commission !

Là, il pourrait dire qu'il a aidé les victimes !

Le fonds de garantie peut, à mon sens, amortir cette réforme !

Il faut dire qu'il lui reste peu de temps !!

A bon entendeur !!